A la toute fin de l’automne et pour braver l’hiver de la meilleure des manières, l’achat d’une paire de bottes est entré dans mes priorités. Eh oui, quoi de mieux qu’une nouvelle paire de bottes pour compléter ma « collection » (c’est ma mère qui le dit !). Je n’avais pas de critères prédéfinis, même pas en termes de couleur, de modèle ou de marque; juste une simple fourchette de prix. Mes séances de shopping (régulières) ont donc été rythmées par ce « caprice » qui, au fil du temps, évoluait en une nécessité à mesure que l’hiver se faisait sentir et que je ne trouvais pas chaussure à mon pied.
Enfin un beau jour, en flânant, je suis tombée par hasard sur LA perle rare ! Face au miroir, c’était LA paire à laquelle j’avais tant rêvé (oui les filles rêvent de tout et n’importe quoi ). Mais le gros problème, c’est que j’étais seule. Personne avec qui partager cette ferveur et personne avec qui vanter les « mérites » de cette perle. En fait, pour résumer, ma meilleure amie n’était pas là pour me conforter dans mon choix quoi. Curieusement, j’ai pris la décision de revenir à la boutique mais cette fois-ci accompagnée.
Le rendez-vous est pris. Et là le moment fatidique: j’essaie, je lui montre (avec une once de suspense) et elle adhère (les amis c’est fait pour ça hein ). Tout cela aurait été merveilleux, si pendant que je remettais mes chaussures, mon amie n’était pas allée fouiner dans la boutique, par impatience dit-elle ! Elle me désigne alors une autre paire de bottes et là GROS DILEMME, je me rue vers elle ! Impossible de m’acheter les 2, je n’avais pas prévu de dépenser une telle somme. La tâche s’est donc révélée plus ardue que prévu puisqu’il s’agissait de deux paires totalement différentes (bottes/bottines, marron/noir, clouté/pas clouté…). Et le fait de n’avoir aucun pré-requis s'apparentait davantage à une contrainte plutôt qu’à un avantage…
Après « moultes » arguments et promesses de mon amie, je cède et ne pars finalement pas avec la paire tant chérie, celle que j'avais découvert seule (mais qui avait néanmoins perdue de sa valeur après cette nouvelle découverte). Ma boîte à chaussures sous le bras, j’étais sûre de faire le bon choix (repartir avec la seconde paire) mais j’étais tout de même assez désorientée quant à la tournure des évènements. Le plus important c'est que je n’ai pas regretté !!
Enfin un beau jour, en flânant, je suis tombée par hasard sur LA perle rare ! Face au miroir, c’était LA paire à laquelle j’avais tant rêvé (oui les filles rêvent de tout et n’importe quoi ). Mais le gros problème, c’est que j’étais seule. Personne avec qui partager cette ferveur et personne avec qui vanter les « mérites » de cette perle. En fait, pour résumer, ma meilleure amie n’était pas là pour me conforter dans mon choix quoi. Curieusement, j’ai pris la décision de revenir à la boutique mais cette fois-ci accompagnée.
Le rendez-vous est pris. Et là le moment fatidique: j’essaie, je lui montre (avec une once de suspense) et elle adhère (les amis c’est fait pour ça hein ). Tout cela aurait été merveilleux, si pendant que je remettais mes chaussures, mon amie n’était pas allée fouiner dans la boutique, par impatience dit-elle ! Elle me désigne alors une autre paire de bottes et là GROS DILEMME, je me rue vers elle ! Impossible de m’acheter les 2, je n’avais pas prévu de dépenser une telle somme. La tâche s’est donc révélée plus ardue que prévu puisqu’il s’agissait de deux paires totalement différentes (bottes/bottines, marron/noir, clouté/pas clouté…). Et le fait de n’avoir aucun pré-requis s'apparentait davantage à une contrainte plutôt qu’à un avantage…
Après « moultes » arguments et promesses de mon amie, je cède et ne pars finalement pas avec la paire tant chérie, celle que j'avais découvert seule (mais qui avait néanmoins perdue de sa valeur après cette nouvelle découverte). Ma boîte à chaussures sous le bras, j’étais sûre de faire le bon choix (repartir avec la seconde paire) mais j’étais tout de même assez désorientée quant à la tournure des évènements. Le plus important c'est que je n’ai pas regretté !!