La période de Noel et ses achats se prêtent particulièrement bien à cet exercice. Cette année, j'avais pris la décision d'offrir à ma famille des petites attentions, faute de moyens. Je m'étais donc fixée un budget raisonnable.. que j'ai fini par tripler.
Ce constat résume parfaitement l'éducation que j'ai reçue en matière d'argent: il faut réaliser un arbitrage entre le plaisir qu'on va tirer de l'achat et les sacrifices qu'il faudra nécessairement faire. A vrai dire, j'étais tellement heureuse de savoir que mes cadeaux allaient faire plaisir que je n'ai même pas réfléchi à la somme que ça représentait pour mon budget d'étudiante. Et je ne regrette pas mes achats pourtant compulsifs.
L'exemple que je donne porte sur des achats de valeur mais peut se retranscrire dans le quotidien. Je fais partie de ceux qui préfèrent acheter "plaisir", quitte à acheter moins. Je suis ainsi très sensible à la qualité du produit mais aussi à des variables moins économiques telles que l'aspect équitable, le packaging..: je me dirige d'instinct vers des produits colorés ou vendus dans des formats différents (qui me feront m'exclamer dans les rayons). Les produits Michel & Augustin par exemple sont l'exemple classique des produits que je vais acheter car ils me font sourire.
Depuis quelques temps je me suis interrogée sur cette nouvelle façon d'acheter que je pense ne pas être la seule à vivre, et c'est comme ça que j'ai découvert le "marketing expérientiel" et la "consommation émotionnelle". Selon moi, c'est une manière d'aller à l'encontre de la morosité ambiance due à cette fameuse crise qui pousse les gens à préférer acheter un produit qui ne leur plaît pas sous prétexte qu'il est moins cher. Je suis pour consommer avec raison (arbitrage budget/plaisir/pratique/écologie/...) mais contre l'excés de rationalité.
C'est une façon de rappeler à tous qu'il est important de se faire plaisir, et ce sans plus attendre!
Ce constat résume parfaitement l'éducation que j'ai reçue en matière d'argent: il faut réaliser un arbitrage entre le plaisir qu'on va tirer de l'achat et les sacrifices qu'il faudra nécessairement faire. A vrai dire, j'étais tellement heureuse de savoir que mes cadeaux allaient faire plaisir que je n'ai même pas réfléchi à la somme que ça représentait pour mon budget d'étudiante. Et je ne regrette pas mes achats pourtant compulsifs.
L'exemple que je donne porte sur des achats de valeur mais peut se retranscrire dans le quotidien. Je fais partie de ceux qui préfèrent acheter "plaisir", quitte à acheter moins. Je suis ainsi très sensible à la qualité du produit mais aussi à des variables moins économiques telles que l'aspect équitable, le packaging..: je me dirige d'instinct vers des produits colorés ou vendus dans des formats différents (qui me feront m'exclamer dans les rayons). Les produits Michel & Augustin par exemple sont l'exemple classique des produits que je vais acheter car ils me font sourire.
Depuis quelques temps je me suis interrogée sur cette nouvelle façon d'acheter que je pense ne pas être la seule à vivre, et c'est comme ça que j'ai découvert le "marketing expérientiel" et la "consommation émotionnelle". Selon moi, c'est une manière d'aller à l'encontre de la morosité ambiance due à cette fameuse crise qui pousse les gens à préférer acheter un produit qui ne leur plaît pas sous prétexte qu'il est moins cher. Je suis pour consommer avec raison (arbitrage budget/plaisir/pratique/écologie/...) mais contre l'excés de rationalité.
C'est une façon de rappeler à tous qu'il est important de se faire plaisir, et ce sans plus attendre!