Premier jour du week-end, je profite de ma matinée pour aller faire les courses avec ma mère près de la grande avenue commerçante de mon quartier, où magasins de grande marque et brasseries se côtoient. Sur le chemin, étant des férues de shopping, on ne peut s’empêcher de jeter un coup d’œil aux différentes vitrines, même si on a déjà fait les soldes…
Et là, tout d’un coup, mes yeux s’arrêtent net sur ces TROPEZIENNES soldées à 50 euros ! Oui j’ai bien dit des Tropéziennes mais version hiver. A défaut de pouvoir vous les montrer, je vais vous les décrire : une petite paire de bottines noires, fourrées, au style un peu péruvien et assez ressemblantes aux UGG, que les magazines ont imposé comme nouvel objet tendance de cet hiver mais au prix pas si tendance que ça… Rien de plus tentant en ce week-end enneigé que ces bottines confortables aux allures de pantoufles élégantes. C’est un véritable coup de cœur ! Et nous savons toutes que quand il y a coup de cœur, l’achat suit immédiatement.
La forme, la texture, les couleurs… tout me plaît ! L’envie de les acheter est trop grande. Sans aucune hésitation, je me précipite à l’intérieur du magasin pour les essayer. Je les demande alors en 37 et j’attends patiemment le retour de la vendeuse. Moins d’une minute après, la vendeuse revient sans la boîte… Plus de 37 ! Seul restait une paire en 35 et une en 40…
Mon euphorie se transforme très vite en déception. Mais je ne me laisse pas abattre pour autant : je décide alors de demander à la vendeuse si le stock va être renouvelé ou s’ils possèdent un autre magasin où je pourrais retrouver ce même modèle en 37. La vendeuse me dit alors que ces bottines font partie de l’ancienne collection donc pas de renouvellement possible, et qu’elle ne sait pas où je pourrais les retrouver dans la mesure où c’est une boutique privée vendant des produits sélectionnés. Pas de chance… Je sors alors du magasin frustrée, ces bottines coup de cœur toujours en tête !
Une semaine plus tard, alors que je faisais des recherches sur internet pour un exposé, la chance me sourit enfin : une publicité d’Amazon surgit sur la droite de mon écran, et que vois-je ? Les Tropéziennes sur lesquelles j’avais flashé ! Et au prix de 49,21 euros, moins cher qu’en magasin.
Moi qui suis plutôt réticente à accomplir des achats sur internet (je n’en fais quasiment jamais d’ailleurs par peur d’être déçue du produit) je n’y pense même pas et clique presque inconsciemment sur la publicité, vérifie la disponibilité du modèle en 37, passe ma commande et paye. Je suis contente et presque fière de moi d’avoir acheté en ligne ce qui me trottait dans la tête depuis plus d’une semaine.
Aucune peur, aucuns doutes, il ne me reste plus qu’à attendre ma commande !
Et là, tout d’un coup, mes yeux s’arrêtent net sur ces TROPEZIENNES soldées à 50 euros ! Oui j’ai bien dit des Tropéziennes mais version hiver. A défaut de pouvoir vous les montrer, je vais vous les décrire : une petite paire de bottines noires, fourrées, au style un peu péruvien et assez ressemblantes aux UGG, que les magazines ont imposé comme nouvel objet tendance de cet hiver mais au prix pas si tendance que ça… Rien de plus tentant en ce week-end enneigé que ces bottines confortables aux allures de pantoufles élégantes. C’est un véritable coup de cœur ! Et nous savons toutes que quand il y a coup de cœur, l’achat suit immédiatement.
La forme, la texture, les couleurs… tout me plaît ! L’envie de les acheter est trop grande. Sans aucune hésitation, je me précipite à l’intérieur du magasin pour les essayer. Je les demande alors en 37 et j’attends patiemment le retour de la vendeuse. Moins d’une minute après, la vendeuse revient sans la boîte… Plus de 37 ! Seul restait une paire en 35 et une en 40…
Mon euphorie se transforme très vite en déception. Mais je ne me laisse pas abattre pour autant : je décide alors de demander à la vendeuse si le stock va être renouvelé ou s’ils possèdent un autre magasin où je pourrais retrouver ce même modèle en 37. La vendeuse me dit alors que ces bottines font partie de l’ancienne collection donc pas de renouvellement possible, et qu’elle ne sait pas où je pourrais les retrouver dans la mesure où c’est une boutique privée vendant des produits sélectionnés. Pas de chance… Je sors alors du magasin frustrée, ces bottines coup de cœur toujours en tête !
Une semaine plus tard, alors que je faisais des recherches sur internet pour un exposé, la chance me sourit enfin : une publicité d’Amazon surgit sur la droite de mon écran, et que vois-je ? Les Tropéziennes sur lesquelles j’avais flashé ! Et au prix de 49,21 euros, moins cher qu’en magasin.
Moi qui suis plutôt réticente à accomplir des achats sur internet (je n’en fais quasiment jamais d’ailleurs par peur d’être déçue du produit) je n’y pense même pas et clique presque inconsciemment sur la publicité, vérifie la disponibilité du modèle en 37, passe ma commande et paye. Je suis contente et presque fière de moi d’avoir acheté en ligne ce qui me trottait dans la tête depuis plus d’une semaine.
Aucune peur, aucuns doutes, il ne me reste plus qu’à attendre ma commande !